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My Little Cheap Dictaphone presents... "The Tragic Tale Of A Genius"
Un opéra pop rock moderne. Rare et idéal. Surréel et magnifique.
Avec MLCD, Redboy (My Little Cheap Dictaphone, Hollywood Porn Stars) et ses trois complices transcendent les standards de la production pop rock et se jouent des frontières de la musique, de la littérature et du théâtre.
Cet Opéra Pop moderne, ce sont deux longues années de travail d’écriture acharné et de studio pour un album concept ambitieux. C’est aussi un processus collectif, réunissant musiciens rock et arrangements symphoniques, professionnels du cinéma, du théâtre et de l'illustration dans un élan créatif, pour atteindre un idéal de spectacle absolu.
Au-delà de l’album, au-delà du conte, The Tragic Tale Of A Genius revisite le mythe faustien, dans un opéra rock à la fois wagnérien et résolument moderne. Le spectateur est plongé au cœur d’un cabaret surréaliste et légèrement déjanté, qui donne à entendre et à voir une œuvre globale et englobante, dans un univers expressionniste clair-obscur, éblouissante nuit et lumière noire, jeux de scène et jeux de vidéos.
La partition musicale, finement ouvrée par nos quatre multi-instrumentistes, exhale le romantisme noir. Une féerie de chansons pop. Des envolées lyriques. Des arrangements symphoniques tantôt contemplatifs à la Mercury Rev, tantôt dignes de Bernard Herrmann dans un film d’Alfred Hitchcock.
Des ballades hantées dans le pure style Nick Cave. Un univers possédé tel celui de Arcade Fire. Eclat et obscurité. Grandeur et décadence.
Les compositions musicales racontent à merveille l’histoire tragique d’un jeune compositeur, talentueux mais torturé par ses démons intérieurs, perdu entre rêve et réalité.
Treize chansons. Treize chapitres de vie.
Depuis l’enfance de ce musicien autodidacte surdoué, en passant par la gloire, puis la damnation à travers un pacte avec le diable, jusqu’à la rédemption. En filigrane, planent les ombres fantomatiques de Brian Wilson (Beach Boys), Johnny Cash ou bien encore Tom Waits. Un grand coup de kick rock ‘n’ roll, qui dépoussière ce bon vieux Faust.
L'album réalisé entre Amsterdam, la Belgique et les Etats Unis, se voit crédité de plusieurs invités internationaux : Mercury Rev, Alamo Race Track, et Black Heart Procession.
 My Little Cheap Dictaphone
The Tragic Tale Of A Genius
AT(h)OME - 2011
Digipack disponible
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